ce blog a été èlaboré sur un Mac.
ce blog a été èlaboré sur un Mac.
l'échassier et autres palmipèdes, se plaisent, eux, dans cette mare...pour notre grand plaisir...
....car l'histoire se répètera d'années en années.
L'intention de ce blog a pour but de sensibiliser les responsables de l'entretien du parc sur son état. Nous avons le privilège de jouir d'un environnement extraordinaire et il serait triste et malheureux que celui-ci perde, petit à petit de son attrait. Je tiens à rappeler que le parc Lacoursière a été classé le plus beau parc en 1999, et a obtenu le prix ''Orange''
Mention historique relevée sur le site de Verdun:
Lac Lacoursière:
...Tire probablement son origine en mémoire du nautonier Pierre Lacoursière qui offrait un service de barque vis-à-vis cet endroit entre l'île des Sœurs et la terre ferme de 1941 à 1962. Au centre de ce parc, se trouve également le lac Lacoursière. Ce dernier fut créé en 1986. Il agit comme bassin de rétention pour les eaux pluviales et constitue un exemple qui rallie esthétique, écologie et hydrologie.
Perpétuons l'exemple.
...le lac, à la fin des travaux, au début de l'hiver 2005, offrait un spectacle des plus
agréable à l'oeil, bucolique même...
...à l'été de l'an 2004, le pourtour du la Lacoursière était ceinturé d'une épaisse barrière de phragmites qui empêchait tout promeneur déambulant sur le sentier qui le bordait, d'en apercevoir, ne serait-ce qu'une petite partie.
En août 2004, sensibilisé par cet état de fait j'ai créé un blog: http://lelac.canalblog.com/
où je dénonçais l'état des rives du lac ainsi que succintement, le manque d'entretien du parc en général.
J'ignore si la publication du blog a contribué à entreprendre à l'automne de la même année, sous l'administration du maire Bossé, un nettoyage des berges ainsi que la réparation de quelques infrastructures? Le lac a été presque vidé, les pépines ont opéré pendant plusieurs semaines.
...en voici des preuves flagrantes...
juste avant le petit pont rouge, les phragmites bloquent tout... il en est de même sur tout le parcours du ruisselet...
Le lac étouffe. Normalement relié par un cours d'eau jusqu'au lac des Batures, (voir plan ), jamais ce ruisselet n'a été nettoyé adéquatement et il est arrivé à un stade tel, qu' aucune goutte n'y circule, des ilôts de plantes denses l'obstruent totalement, jusqu'au boulevard Marguerite Bourgeois, en passant sous la rue
de Lanoue, l'eau stagne...
et, petit à petit, présentait des signes de détérioration.
La salicaire pourpre, les phragmites, nénuphars et autres plantes parasitaires ont fait leur apparition. Depuis, le lac est devenu une mare fangeuse, (dernière étape avant de devenir glauque), triste à voir, qui plus est, émettrice de mauvaises odeurs à certaines périodes.
(cliquer sur les photos pour agrandir)
le héron, lui, doit trouver cette situation très favorable...